mdby……SANDRA ENTERLINE
Aujourd’hui on vous montre le travail de bijouterie de SANDRA ENTERLINE, qui travail avec l’or et l’argent, en faisant bijoux “sculpturaux“ et on connaitra son but quand elle les dessine, à travers de ce que on dit ici.
Quelque fois, on n’a pas le même concept sur un bijou, que le concept de l’auteur….
Votre travail dans la bijouterie est en évolution constante, essayez-vous de refléter l’évolution de votre vie personnelle à votre travail?
L’évolution de mon travail est basée au propre travail. Quand j’achève une nouvelle pièce, je pense à explorer ce qui me plaît de la pièce. Par exemple, peut-être la manière la lumière filtre à travers de la forme, ou le mouvement de la pièce travaillée très bien. Je prends ce qui m’intrigue de la pièce terminée et je développe ce concept dans la suivante.
Il n’y a pas de manière d’éviter des influences personnelles sur le travail. Quelques pièces sont directement influencées par des expériences personnelles et ils son exposées à ce qui m’entoure.
J’ai crû dans le nord-ouest de Pennsylvanie; des fabriques négligées m’ont inspiré depuis toujours. Ce sont comme des cathédrales extraordinaires. Sablonneuses, mystérieuses, immenses et obscures, cependant, elles sont étrangement fragiles et délicates en même temps. Cela m’a inspiré pour commencer à travailler avec feuilles en diamants et en argent obscur oxydé. Les diamants sont dans le carbone, et sont comme fenêtres délicates qui capturent la lumière. Les fenêtres permettent que la lumière passe à travers de chaque diamant, avec une forme irrégulière et avec inclusions, gris, noir et jaune. Dernièrement, je cherche des matériels pour la bijouterie qu’ils sont à la fois harmonieux et déconcertants.
Comment avez-vous commencé?
Il me plairait que vous nous racontez, pour quelqu’un qui achève ses études, si c’est meilleur créer sa propre affaire ou travailler dans une autre étude ….
En 1980 j’ai obtenu mon diplôme dans la Bijouterie et la Forge chez Rochester Institute of Technology, l’école d’artisans américains. De là, j’ai continué à étudier chez Rhode Island School of Design , et j’ai reçu le BFA dans la Bijouterie et la Forge en 1983. J’ai pris entre les deux, et j’ai étudié avec deux orfèvres à Worcester, MA.
Après avoir reçu le titre chez RISD, j’ai sollicité pour un show d’American Craft Council et ils m’ont accepté. Presque à la fois, j’ai eu l’honneur d’être acceptée dans l’exposition de « Nouveaux Talents » chez Artwear à New York. J’ai dû embaucher à une personne pour couvrir mon poste, afin de pouvoir assister à l’inauguration à New York.
Encore de nos jours, je ne sais pas comme ces deux choses sont sorties à la fois, vraiment ça m’a donné un coup depuis le debout.
Une fois vous êtes-vous découragée?
Je crois que tous avons nos mauvaises jours, mais j’essaie de travailler dans l’étude le maximal possible (normalement 5 jours de la semaine). Cela m’aide à passer des époques de moins inspiration.
Comment définiriez-vous « de la bijouterie »?
Je déteste le terme « Art Bijouterie ». Je crois que la bijouterie peut être inspiratrice, sculpturale, conceptuelle et belle, ou même moche. Je ne suis pas très fan des œuvres que ce sont des sculptures pour porter, les pièces qui semblent qu’ils devraient être accrochées « au mur », ou simplement mieux utilisées comme sculpture. Telles pièces, elles me paralysent par l’effort excessif. Je crois en pièces « commodes ».
Pour nommer quelques artistes bijoutiers dont son travail améliore « l’art bijouterie », à mon avis, Otto Künzli, Karl Fritsch, Warwick Freeman, Thomas Gentille, Katja Prins, Gerd Rothmann. Ces artistes ont un pouvoir transformateur et une intégrité sans une définition possible.
Vous fabriquez vos dessins, faits à la main; avez-vous un type de métal préféré avec lequel travailler?
J’adore travailler avec argent par son caractère malléable, et normalement je travaille en or par des raisons conceptuelles.
Pourquoi es que vous identifiez-vous à un métal et pas à d’autres matériels? Bien que quand vous faites des travaux de bijouterie, vous utilisez d’autres matériels, ça dépend de l’idée dans laquelle vous travaillez?
Beaucoup dépend de l’idée, et c’est la meilleure manière d’exprimer le concept ou le sens de la pièce.
J’utilise des travaux alternatifs s’il joint conceptuellement au travail. L’installation « souvenir » que j’ai fait en 1999 a été fait avec des objets collectionnés/trouvés et des matériels alternatifs.
Dans certains de vos dessins, cachez-vous des choses à l’intérieur qui peuvent être appréciés à travers du métal perforé, pourquoi est-ce que vous le faites comme ça?
Il me plaît de créer des jolis objets qui encadrent des matériels inespérés dans un contexte de pouvoir, de séduction et de pureté. Mes formes sont souvent minimales dans une structure, mais fortes dans le monde organique et mécanisé.
Dans certains de mes pièces, l’intérieur et l’extérieur interagissent. Par exemple, dans les pièces perforées, des centaines de très petits trous fournissent une vision de 22k au-dessous de la surface. L’or est occulte par la forme, et se révèle par les perforations.
La tension est fascinante pour moi, et donne une vie à l’œuvre. Des formes raffinées coffrées parfois, elles contiennent et révèlent de beaux intérieurs. Je fais des forts objets simples et sculpturaux qui sont complexes et avec capes, découvertes avec le temps.
Votre œuvre est basée sur des formes géométriques et vous n’utilisez pas de couleurs, comme vous définiriez votre travail?
Je suis très influencé par la sculpture, pas beaucoup par la bijouterie. Pour nommer certains, l’œuvre de Wolfgang Laib, de Martin Puryear, et deLouise Bourgeois, m’a impressionné. Je m’efforce parce que mon travail ait une qualité sculpturale.
J’ai fait une pièce dans laquelle la couleur apparaître, Queen Bee Brooch, un hommage à Madeleine K. Albright.
C’est une travaille très passionnant le fait de créer votre propre nom. Y a-t-il d’autres noms qu’ils vous inspirent?
Un travail de manière intuitive. Je collectionne de jolis objets fonctionnels et à la fois décoratifs, vintage et contemporain. C’est difficile de dire si existe une marque unique qui m’inspire.
Pour qui fabriquez-vous les pièces? Pensez-vous au client final?
Non réellement.
Fabriquez-vous par commande?
Parfois.
Qui serait un command idéal?
Une commande qui me couvre économiquement en parlant et qui ils me donnent une confiance totale sur ma vision esthétique pour avoir de la liberté artistique. Mais, ce n’est pas cela ce que tous voulons?
Lesquels ont été les meilleurs et les pires moments de votre vie professionnelle?
Le meilleur : Gagner deux Fonds National des subventions pour l’Art; en 1988 et 1992.
Le pire : traverser des périodes économiques difficiles, parce que le travail peut ne pas se vendre au moment. Cela soustrait une valeur à la création et c’est épuisant.
Comment est-ce que vous vous imaginez à l’âge de 60?
Continuer d’être (comme l’on dit en Amérique). J’ai travaillé toute ma carrière pour créer une réputation solide, et j’ai pris des risques pour me dépasser. Cela peut être parfois alarmant et incommode, mais le plus on le fait, et on triomphe, la plus grande liberté que l’on obtient pour faire ce que l’on veut réellement faire.
Qu’est-ce qui est le plus difficile de votre travail, et ce qui vous plaît le plus?
Ce que je déteste : le Travail de bureau, de logistique, d’administration, etc. …
Ce que j’aime: être dans mon atelier en dessinant.
Quel est le meilleur conseil que vous avez reçu ? Et celui que donneriez-vous?
Quand j’étais étudiante chez RISD, dans plusieurs occasions, mon professeur Louis Mueller marquait-il quelque chose de la pièce et disait « pour que cela est là ? »
Je crois que je dirais le même.