Here is an interview to the wonderful Matthew Shilian, who is a papel engineer.
With his talent and passion, I am not surprised about his success, and I thought you’d be interested to know how to become a papel engineer.

Comment définiriez-vous votre travail ?
Mon travail est avec le papier, je le manipule.

Comment avez-vouz commencé?
J’ai commencé comme étudiant : au commencement, je suis allé à une école de céramique, mais je me suis rendu compte depuis le principe que j’étais intéressé dans tous les matériels. J’ai étudié du verre, de la peinture, du son et à la fin, j’ai eu un double titre dans céramique et print media. Dans ce moment-là, je ne faisais pas d’impressions traditionnelles ou d’oeuvres de céramique. Dans son lieu, il me plaisait de créer des grandes impressions digitales et avec coupes du papier et de plis, de créer à grande échelle avec le patron. Je ne savais pas ce que je faisais. Je voulais que le travail fût interactif et que l’image se rattachera aux plis. Elle m’a enchanté, la proximité du papier comme de milieu pour l’obtenir. Aussi la géométrie m’a enchanté. Arriver à comprendre les pièces était de résoudre comme un puzle. Je suis une personne très visuelle, j’ai à visualiser quelque chose pour entendre son sens. L’un de mes tuteurs de la faculté, Anne Currier, a commencé à m’acheter des livres pop-up et j’ai commencé à les disséquer et à découvrir comment ils fonctionnaient. Tout a commencé ainsi.

Avez-vous désespéré plusieurs fois ?
Naturellement, à qui ne lui a-t-il pas passé ? Il est difficile de vivre de l’art.

Qui serait votre projet idéal ?
Ils me plaisent autant les projets totalement libres comme lesquels vous avez des restrictions de n’importe quel type. Ma situation idéale est quand le client propose un projet avec un bon concept de base et me permet de chercher une solution sans interférer.

Comment vos idées naissent-elles ? Quelles sont vos sources d’inspiration ? Êtes-vous influencé par quelqu’un spécialement ?
Je trouve une inspiration dans presque tout; le Dessin de les plaques solaires, un développement moléculaire, des caractères arabes, des patrons, l’architecture, les biomimetizaciones, la musique, etc.. J’ai une forme de reinterpréter le monde qui m’aide à voir les choses facilement négligé.

Des sources d’inspiration – des musiciens, les acteurs, des écrivains, les artistes, des producteurs … Brian Eno, Matthew Goulish and Goat Island, El-P, Daniel Libeskind, Dondi White, Christian Marclay, Ren Weschler, Buckminster Fuller, George Hrycun, Edward R. Tufte, Bavarde and Ray Eames etc.. Dans le domaine du papier, Vojtech Kubasta et Noriko Ambe m’enchantent Lothar Meggendorfer.

Avez-vous eu un mentor qui a appuyé et vous a guidé ?
Naturellement, j’ai eu les professeurs merveilleux qui m’ont montré comme être un artiste grâce à ceux-ci. En particulier, grâce à Jim Royle, George Hrycun, Anne Currier.

Qui est ta philosophie ?
C’est bien, maintenant fais-le de nouveau.

Qu’est-ce qui est la beauté pour vous?
Tout est beau si nous le regardons avec les yeux corrects. « Un regard est oublier du nom des choses qui se regardent ».

Comment est-il un de jours de votre travail ?
M’éveiller, me doucher, manger, aller au bureau – je travaille tout le matin – des e-mails à l’heure de manger – des réunions par l’après-midi, des commissions. Je reviens chez moi. Et viola, nous revenons

Le plus difficile de votre travail ?
Faire le commerce avec les gens. Je préfère travailler.

Qu’a été votre grand succès ?
IJ’ai participé au programme « Sesame street » le mois dernier, ça a été très important.